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  • mamakos-creations
  • il y a 3 jours
  • 2 min de lecture

« On ne devrait jamais quitter l’Aveyron ! »




Il y a des familles qui essaiment un peu partout, qui au gré des aléas de l’histoire (la grande ou la petite) sont amenées à changer de région, voire de pays.

Et puis il y a des familles comme celle de mon conjoint…

Pour paraphraser un célèbre dialoguiste, je pourrais leur attribuer comme devise :

On ne devrait jamais quitter l’Aveyron ! [1]

Je vous avais annoncé que, au cours de ce voyage généalogique, nous visiterions l’Aveyron.

Eh bien, rendue quasiment à la moitié du Challenge AZ, je me dois de vous l’avouer : je vous ai menti !

Alors oui, on voyage en Aveyron.

Mais verrons-nous tout l’Aveyron ? Irons-nous jusqu’à Najac, à l’ouest ; jusqu’à Saint-Véran, à l’est ; sur le plateau de l’Aubrac au nord ou sur le plateau du Larzac au sud ?

Eh bien, je vous le dis tout net : non.


Non, nous resterons dans une aire de 1730 km² – quand la superficie totale du département de l’Aveyron est de 8735 km². Dans cette zone qui va de Bozouls au nord à Broquiès au sud, de Centrès sur le Viaur, à l’ouest, à Séverac-le-Château et Millau, à l’ouest.


Géographie Gaubert-Boudes

Cinq communes sont particulièrement représentées : Montjaux, Salles-Curan, Arques, Viala-du-Tarn et Castelnau-Pégayrols.



Pour l’essentiel, les paysages sont ceux du Lévézou, de la vallée du Tarn et de la vallée du Viaur.

J’aurais pu commencer tous mes articles par « cette commune est une commune rurale à habitat très dispersé » selon la typologie de l’INSEE.

Comme on peut s’y attendre dans un tel cadre, nous avons rencontré jusqu’à présent des familles de cultivateurs, beaucoup de brebis et quelques vaches ; quelques curés et prêtres et un instituteur.


Je consacrerai dans quelques jours un article sur les professions de la généalogie GAUBERT-BOUDES.

Cet article nous réservera-t-il des surprises ? Je vous laisse sur ce suspens insoutenable…


NOTES


[1] « On ne devrait jamais quitter Montauban ! », célèbre réplique prononcée par Lino Ventura dans le film Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner, avec notamment Michel Audiard au scénario.

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4 commentaires

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Christelle
il y a 3 jours

Je croirais reconnaître ma branche morvandelle ou ma branche auvergnate ! S'agirait pas de s'éloigner... 😅

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mamakos-creations
il y a 2 jours
En réponse à

"On est si bien chez soi !" 😆

(Phrase que me dit régulièrement mon conjoint !)

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petits cailloux
il y a 3 jours
Noté 5 étoiles sur 5.

Mais quel suspense insoutenable ! ... et dire que je ne connais pas l'Aveyron ! 😂

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mamakos-creations
il y a 3 jours
En réponse à

J'essaie par tous les moyens de garder l'attention de mes lecteurs et lectrices ! 😂

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